Les signaux sont chaque jour plus clairs : la phase actuelle de mondialisation touche à sa fin. Née dans les années 1980 avec le système boursier mondial et la chute du mur de Berlin, elle a reposé sur une utopie : une planète unifiée par le libre-échange, régie par le marché et la démocratie. Mais aujourd’hui, le courant protectionniste remonte. Des entreprises, notamment américaines, relocalisent leurs industries dans leur pays. L’OMC tremble. Partout, le nationalisme déborde. François Lenglet dévoile ici que nous sommes à la fin d’un cycle. Désormais, plus personne n’a honte de protéger son économie et de jouer sur sa monnaie. Il ne faut pas regretter la mondialisation. Malgré son indéniable effet de rattrapage pour des pays pauvres, bien peu en ont profité. Avec clarté et humour, ce livre décrit le monde qui vient. Un univers où les classes moyennes tiendront leur revanche et où le parasitisme des mafias volera en éclats.
Apple decide di rilocalizzare dalla Corea una fabbrica di computer in Texas. Certo si tratta di un’azienda da 100 milioni di dollari e 200 dipendenti, un po’ poco per ravvisarvi una tendenza. Ma il gigante informatico di Cupertino non è da solo. General Electric dalla Cina rimpatria le aziende nel Kentucky. E lo stesso fanno Caterpillar, Ford e ET Water Systems. Come se non bastasse gli Usa hanno raggiunto l’autonomia energetica per non sovvenzionare le petro-monarchie arabe. Nella stessa direzione si muove la Renault in Francia. La Germania, dal canto suo, abbatte il costo del lavoro per evitare che i suoi imprenditori rincorrano i sogni della delocalizzazione e mettano a dieta l’industria domestica... Insomma, meglio produrre in casa! Secondo uno studio del Boston Consulting Group, il 37% delle imprese, il cui giro d’affari supera il miliardo di dollari, si accinge a rimpatriare una parte della produzione. [web] Christine Lagarde, presidente del Fmi, con il giornalista francese François Lenglet
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